À chaque baignade, environ le quart de la crème solaire appliquée sur la peau reste dans l’eau. Selon une étude
américaine, près de 14 000 tonnes de crème solaire sont ainsi relâchées chaque année dans des zones abritant
des coraux ou des invertébrés dont se nourrissent les poissons de nos eaux.
De plus, en 2019, Environmental Working Group (EWG), un organisme dédié à la protection de la santé humaine
et de l’environnement, a analysé 1700 produits de protection solaire disponibles aux États-Unis et au Canada.
EWG a constaté que même des produits pour bébés pouvaient contenir des ingrédients chimiques connus pour
leur effet nocif et irritant pour la peau.
Le cancer de la peau est le plus fréquent au Canada : il représente au moins 40 % des nouveaux cancers
diagnostiqués chaque année. La plupart sont causés par un contact prolongé avec les rayons UV, qui sont aussi à
l’origine des coups de soleil, du vieillissement prématuré de la peau et des cataractes.
Boréalie souhaite développer un nouvel ingrédient actif issu du Fleuve Saint-Laurent pour ne faire aucun
compromis entre protection de la peau et protection de la nature. En associant un système de filtres innovant à
un nouveau complexe antioxydant enrichi, Boréalie bannit les filtres controversés de ses formules, les filtres
chimiques suspectés d’être des perturbateurs endocriniens, tels que l’octinoxate et l’octocrylène, les filtres sous
forme de nanoparticules.
Personne référente
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